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Présentation

  • Les transferts massifs aux départements des routes nationales consécutifs aux réformes de 1972 et 2005, sans oublier les transferts intermédiaires, comme en Île-de-France, ont conduit les Conseils Départementaux à renuméroter ces axes.
  • En déclassant ses routes nationales, l'État n'a laissé aucune consigne, de sorte que chaque département est resté libre de renommer à sa guise ses nouvelles routes départementales. La motivation est que les usagers de la route ne se repèrent pas grâce au numéro mais à la direction indiquée sur les panneaux... Ainsi, toute la nomenclature héritée de Napoléon et des années 1930 a été démantelée en une trentaine d'années.
  • S'il est encore possible de suivre sur le terrain le parcours des anciennes routes nationales, ce processus devient de plus en difficile à mesure que se construisent des déviations et que ces routes perdent totalement leurs spécificités. À la décharge des Conseils Départementaux, il faut reconnaître que dans certaines circonstances il est difficile de conserver le numéro d'une route nationale lorsque celui-ci est déjà attribué à une route départementale. Dans les années 1970, chaque département a agi isolément pour la bonne raison que les transferts se sont étalés dans le temps, d'un département à l'autre, mais aussi à l'intérieur des départements, suivant les routes.
  • Il existe 4 grandes tendances dans la renumérotation des routes nationales :
    • La renumérotation sous la forme D9xx. Par la circulaire n°73.351 du 11 Juillet 1973, le Ministre de l'Intérieur a retenu le principe consistant à faire précéder les deux derniers chiffres de l'ancien numéro des routes nationales par le chiffre de centaine 9. Outre l'identification claire des routes nationales transférées, ce principe répondait à un problème pratique de disponibilité du numéro dans la classification existante des routes départementales. Pour beaucoup d'axes, surtout ceux au numéro inférieur à 300, une route départementale pré-existante était déjà classée. On retrouve donc la forme D9xx un peu partout en France, plus spécialement dans la moitié nord et elle a surtout concerné la réforme de 1972. On constate également qu'entre 1972 et 2006, dans toute la France, les délaissés de routes nationales après ouverture de déviations ou redressements de celles-ci sont renumérotés de la sorte. Toutefois, et spécifiquement dans ce cas de renumérotations de délaissés, l'utilisation d'un autre chiffre de centaines que 9 (souvent 7 ou 8, aussi 1 ou 4) s'observe à de nombreuses reprises dès cette période intermédiaire, un exemple typique concernant un délaissé de peu d'importance ou tardif sur la route déjà départementalisée. En 2005, très peu de départements adoptant une renumérotation à 3 chiffres reprennent le format D9xx, bien plus adoptent le format Dnxx où n est souvent 6 ou 8. En effet, ce numéro D9xx était bien souvent déjà indisponible car déjà attribué à un ancien tracé modifié lors de la réforme de 1972, à un délaissé suite à l'ouverture d'une déviation, voire à une ancienne annexe de la route. De plus, beaucoup de départements ont eu le souci de différencier dans leur nomenclature les routes déclassées antérieurement à 2006 et celle déclassées lors de cette dernière réforme.
    • La conservation des numéros, tout particulièrement pour les axes au numéro initialement supérieur à 300. Très souvent, les numéros correspondants n'étaient pas occupés par une route départementale pré-existante. On la retrouve principalement dans la moitié sud-est de la France pour les routes nationales déclassées après 1972. Elle a été adoptée par plusieurs départements en 2006, avec parfois des subterfuges, comme la mise en place d'un exposant N après le numéro dans les Bouches-du-Rhône et la Drôme, soit parce qu'une route départementale existait avec le même numéro, soit pour différencier les tronçons d'une même ancienne route nationale déclassés antérieurement à 2006 et déclassés après 2006. Ce même ajout d'exposant N avait d'ailleurs déjà été utilisé dans l'Aveyron et l'Ardèche dans les années 70, avant que ces deux départements ne reviennent à un système plus classique.
    • L'ajout d'un quatrième chiffre en-tête du numéro existant pour identifier les anciennes routes nationales des autres routes départementales. On la retrouve seulement dans les Alpes-Maritimes en 1972 mais cette pratique se généralise en 2006. En dépit d'une longueur parfois excessive, comme pour la D6202Bis, ce système a le mérite de conserver intégralement l'appellation de la route et d'identifier commodément dans la nomenclature les routes issues de la réforme de 2006. Suivant les départements, le premier chiffre choisi varie et le plus souvent sans aucune cohérence.
    • L'attribution d'un nouveau numéro complètement déconnecté de l'ancien, uniquement après 1972. En Seine-et-Marne et dans la Sarthe, on a créé une nouvelle série spécifique de numéros. La Mayenne et la Corse ont préféré quant à elles 'dissoudre' complètement l'identité des anciennes nationales par une réfection poussée de la numérotation de leur départementales.
  • En marge de ces quatre tendances, des cas particuliers ont vu le jour. Par exemple la Marne avait préféré après la réforme de 1972 conserver l'ancien numéro en appelant RDxxx ses anciennes nationales déclassées, à différencier de la simple départementale ordinaire portant le même numéro appelée administrativement CDxxx. Cependant, lorsque l'on adopta officiellement l'appellation RDxxx pour toutes les routes départementales, ce département a dû procéder aux renumérotations nécessaires.
  • Enfin, uniquement en réforme de 2006, certains départements ont refusé de reclasser en RD leurs anciennes RN, leur laissant l'appellation intermédiaire de RNIL (Pour le Val-de-Marne, ce fut le cas jusqu'à la révision de la nomenclature des RD de 2009 ; le Loiret n'a également procédé à la renumérotation que tardivement). Autre cas remarquable, le Var a préféré en 2006 conserver l'identité des anciennes RN7 et RN8 en leur attribuant l'appellation très particulière DN7 et DN8, ce qui constitue en quelque sorte une variante de l'appellation RNIL. Enfin, l'Essonne n'a pas renuméroté les anciennes RN7 et RN20 qui conservent leur dénomination et restent signalées par de curieux cartouches rouges (parfois jaunes) avec la mention N7 ou N20, ce qui contrevient aux règles élémentaires de numérotation et de signalisation des routes départementales. Le dernier département à avoir numéroté ses RNIL est la Seine-Saint-Denis en 2017 qui a mis en place un système complexe de renumérotation.
  • Pour être rigoureux, il est à remarquer que le tracé actuel de la route départementale succédant à l'ancienne route nationale déclassée peut différer localement de la route d'origine telle qu'elle existait au moment du déclassement, notamment pour celles issues de la réforme de 1972. En effet, ces routes sont des axes souvent structurants qui ont connu leurs lots de modernisations récentes directement effectuées par les Conseils Départementaux, comme pour tout le réseau routier d'une certaine importance. Dans ce cas-là, la route historique peut porter éventuellement un numéro spécifique - quand elle n'est pas devenue une simple voie communale - alors que le numéro nominal est attribué à la déviation.
  • Pour finir, signalons qu'il a existé des cas assez rares de déclassements de routes nationales antérieurs à 1972. Dans tous les cas, un numéro classique de route départementale leur a été attribué et éventuellement celui qu'elle portait - ou son équivalent dans le cas des Gc et Ic devenus CD - avant 1933, si le classement avait été réalisé à cette époque.

Règles de renumérotation par département

  • Ce tableau recense les règles générales de renumérotation par département, avec leurs exceptions notables en notes de bas de page. On considère les trois principales vagues de déclassement en 1973, en Île-de-France dans les années 1990-2000 et en 2006. On suppose que chaque route nationale porte un numéro sous la forme Nabc. Sauf exceptions remarquables, nous ne nous intéressons pas aux routes nationales à 4 chiffres.
Département Réforme de 1972 Réforme en IDF Réforme de 2005
Ain D9bc / D1abc
Aisne D9bc [1] / D1abc
Allier D9bc [2] / D2abc
Alpes-de-Haute-Provence D9bc [3] / D4abc
Hautes-Alpes D9bc / D1abc
Alpes-Maritimes D2abc / D6abc
Ardèche Dabc [4] / Dabc [5]
Ardennes D9bc / D8bc [6]/ D7bc [6] / D8abc
Ariège Dabc [7] / D8bc
Aube Dabc [8] / D6bc
Aude Dabc / D6abc
Aveyron D9bc / D8bc
Bouches-du-Rhône Dabc[9] / Dabc / DabcN [10]
Calvados D5bc / D6bc
Cantal Dabc [11] / D9bc [12] / Dabc
Charente Dabc [11] / D9bc [12] / /
Charente-Maritime Dabc [11] / D9bc [12] / Dabc
Cher D9bc / D2abc
Corrèze D9bc [13] / D1abc
Corse Dxyz [14] / / [15]
Côte-d'Or D9bc [16] / D9bc
Côtes-d'Armor D7bc [17] / Dabc
Creuse D9bc / D9bc
Dordogne Dabc [11] / D9bc [12] / D6abc
Doubs Dabc / D6bc [18]
Drôme Dabc [19] / Dabc / DabcN [10]
Eure Dabc [20] / D6abc [21]
Eure-et-Loir D9bc / D9bc [22]
Finistère D7bc / Dabc [23]
Gard D9bc / D6abc
Haute-Garonne Dabc [24] / D8bc
Gers D9bc [25] / D9bc [26]
Gironde Dabc [11] / D9bc [27] / D1abc [28]
Hérault D9bc / D6bc
Ille-et-Vilaine Dabc [29] / Dabc
Indre D9bc / D9bc
Indre-et-Loire Dabc [30] / D9bc [31] / D9bc [32]
Isère D5bc / D1abc [33]
Jura D4bc / D6bc [34] / D9bc [35] / D1abc [36]
Landes Dabc [37] / D9bc [38] / D8bc
Loir-et-Cher Dabc [39] / D9bc [40] / D3bc [41] D9bc [42] / D2abc [43]
Loire Dabc [44] / D1abc
Haute-Loire Dabc / /
Loire-Atlantique Dabc [45] / D9bc [46] / Dabc [47]
Loiret D9bc[48] / D2abc[49]
Lot Dabc [50] / D9bc [51] / D8bc
Lot-et-Garonne Dabc [11] / D9bc [12] / D8bc
Lozère D9bc / D8bc
Maine-et-Loire Dabc [11] / D8bc [52] / D9bc [12] / Dabc [53] / D3bc [54] / D7bc [55] / D9bc [56]
Manche D9bc / D9bc
Marne D9bc [57] / D9bc [58]
Haute-Marne Dabc / D6bc
Mayenne Dyz [59] / Dabc [60]
Meurthe-et-Moselle D9bc / D6bc [61]
Meuse D9bc / D6bc [62]
Morbihan D7bc / Dabc
Moselle D9bc [63] / D6bc [64]
Nièvre D9bc [65] / D9bc [66]
Nord D9bc [67] / D6bc [68]
Oise D9bc [69] / D1abc
Orne D9bc / D9bc [70]
Pas-de-Calais Dabc [71] / D9bc [72] / D9bc
Puy-de-Dôme D9bc [73] / D2abc
Pyrénées-Atlantique D9bc / D8bc
Hautes-Pyrénées D9bc [74] / D8bc
Pyrénées-Orientales Dabc [75] / D9bc [76]
Bas-Rhin D4bc / D1abc
Haut-Rhin D4bc / Dabc [77]
Rhône Dabc [78] / D4bc [79] / D3bc [80]
Haute-Saône Dabc / D6bc
Saône-et-Loire D9bc / D6bc [81] D9bc [82] / D1abc [83][84]
Sarthe D3yz [85] / D3bc [86]
Savoie D9bc / D1abc
Haute-Savoie D9bc / D1abc
Paris / / /
Seine-Maritime D9bc [87] / D6abc [88]
Seine-et-Marne D4yz [89] D3bc [90] D6bc / Dabc[91]
Yvelines D9bc [92] Dabc [93] D9bc [94]
Deux-Sèvres Dabc [11] / D9bc [12] / D6bc
Somme D9bc [95] / D1abc
Tarn Dabc [96] / D9bc [97] / D6bc
Tarn-et-Garonne D9bc / D8bc
Var Dabc [98] / Dabc [99] / DNabc [10]
Vaucluse D9bc [100] / D9bc
Vendée D9bc [101] / Dabc
Vienne Dabc / D9bc [102]
Haute-Vienne D9bc [103] / D9bc
Vosges D4bc [11] / D1bc [104] / D4bc [105]
Yonne D9bc / D6bc [106]
Territoire de Belfort D4bc / Dabc
Essonne Dabc [107] / Dabc [108]
Hauts-de-Seine / D9bc [109] D9bc
Seine-Saint-Denis / /[110] D9bc [111] / D93x [112] [113]
Val-de-Marne / / Dbc [114]
Val-d'Oise D9bc D9bc [115] D3bc [116]


Références

  1. Sauf pour la RN37, en partie devenue D1.
  2. Sauf pour la RN146, devenue D46, la RN153 devenue partiellement D253, la RN478, devenue D978A par continuité avec le département de la Nièvre, la RN479, devenue D979A par continuité avec le département de la Nièvre, la RN493, devenue D1093 et la RN694 devenue la D94. Plus tard, le tronçon déclassé de la RN79 est devenu la D779, la RN695 est redevenue D1 et D13 comme avant 1933 (cas unique pour la réforme de 1972).
  3. Sauf pour la RN554, devenue D4 tout comme, partiellement, la RN207.
  4. Sauf lorsque le numéro était déjà pris, les routes nationales concernées étant alors renumérotées en D12x sans cohérence.
  5. Sauf pour la RN82, devenue D820.
  6. 6,0 et 6,1 Pour les annexes.
  7. Sauf pour une partie de la RN626 et de la RN628 qui ont été intégrées à un itinéraire numéroté D919.
  8. Sauf pour la RN60, devenue D960.
  9. Sauf pour la RN8Bis, devenue D6 et D908.
  10. 10,0 10,1 et 10,2 Lorsque le numéro était déjà attribué à une route départementale.
  11. 11,0 11,1 11,2 11,3 11,4 11,5 11,6 11,7 et 11,8 Pour les routes nationales classées après 1930.
  12. 12,0 12,1 12,2 12,3 12,4 12,5 et 12,6 Pour les routes nationales antérieures à 1930.
  13. Un tronçon de la RN691 sera renuméroté en D16,
  14. Nouvelle numérotation sans rapport avec l'ancienne.
  15. Les routes nationales sont transférées depuis 1991 mais elles conservent leur ancienne appellation et leur cartouche rouge.
  16. Sauf pour la RN70, devenue D70.
  17. Sauf pour la RN778, partiellement devenue D700 (entre Malakoff et Loudéac) et D790 (au nord de Malakoff) par la suite.
  18. Sauf pour la RN173, devenue D67, la RN463, devenue D613 de Montbéliard à Sochaux, la RN1463, devenue D623 de Montbéliard à Béthoncourt, et la RN9463, devenue D633.
  19. Avec de nombreuses exceptions pour les embranchements de la RN86 franchissant le Rhône.
  20. Sauf pour la RN15, devenue D15BIS.
  21. Sauf pour la RN13, devenue D613, la RN26, devenue D926, et la RN138, devenue D438.
  22. Sauf pour la RN20, devenue D2020.
  23. Sauf pour la RN12, devenue D112.
  24. Sauf pour la RN626, devenue par la suite la D626B.
  25. Sauf pour la RN626, devenue D626, la RN632, devenue D632, la RN634, devenue D634, et la RN654, devenue D654.
  26. Sauf pour la RN124, devenue D931 par continuité à l'ouest de Manciet.
  27. Pour les routes nationales antérieures à 1930, y compris les annexes.
  28. Sauf pour la RN137, devenue D137 par continuité avec les autres départements.
  29. Sauf pour la RN155A devenue D355, la RN163Bis, devenue D463, la RN166A, devenue D366 et les RN166 et RN773, devenues en partie et respectivement D266 et D873.
  30. Pour les routes nationales classées après 1930. En 2006, l'ancienne RN675 voit changer sa numérotation de D675 en D775.
  31. Pour les routes nationales antérieures à 1930, y compris les annexes.
  32. Sauf pour la RN521, devenue D801 par continuité, la RN585, devenue D37 par continuité, et la RN851, devenue D751.
  33. Voir la délibération du Conseil Départemental de l'Isère du 28 avril 2006.
  34. Règle générale et notamment pour les routes nationales limitrophes avec le Doubs.
  35. Pour les routes nationales limitrophes avec la Côte-d'Or.
  36. Pour les routes nationales limitrophes avec l'Ain.
  37. Pour les routes nationales classées après 1930, sauf les routes nationales limitrophes avec les Pyrénées-Atlantiques.
  38. Pour les routes nationales antérieures à 1930 et les routes nationales limitrophes avec les Pyrénées-Atlantiques.
  39. Pour les routes nationales classées après 1930 et celles situées globalement au sud-ouest de Blois.
  40. Pour les routes nationales antérieures à 1930 et celles situées globalement au nord-est de Blois.
  41. Pour les routes nationales limitrophes avec la Sarthe.
  42. Pour les routes nationales limitrophes avec l'Indre-et-Loire.
  43. Pour les routes nationales limitrophes avec le Cher et le Loiret.
  44. Sauf pour la RN81, morcelée en plusieurs axes.
  45. Règle générale, sauf pour la RN23, devenue D723.
  46. Pour les numéros Bis, sauf pour la RN178Bis, devenue D878.
  47. Règle générale, sauf pour la RN23, devenue D723 et la RN171
  48. Sauf pour la RN451, devenue D961.
  49. Cette renumérotation n'a été mise en place qu'en 2009. Auparavant, les RN déclassées avaient conservé l'appellation de RNIL.
  50. Pour les routes nationales classées après 1930 sauf pour la RN703 devenue D803 par la suite.
  51. Pour les routes nationales antérieures à 1930, sauf pour la RN111, devenue D811 à l'ouest de Cahors.
  52. Pour les numéros Bis, sauf pour la RN23Bis, devenue D923 et la RN161Bis, devenue D961.
  53. Pour les routes nationales limitrophes avec la Vendée.
  54. Pour les routes nationales limitrophes avec la Sarthe et la Vienne.
  55. Pour les routes nationales limitrophes avec la Loire-Atlantique et la RN162, devenue D775 par continuité avec l'Axe Rennes-Angers.
  56. Pour les routes nationales limitrophes avec l'Indre-et-Loire.
  57. Sauf pour la RN3, devenue D3, et la RN396, devenue D396. Initialement, toutes les routes nationales étaient renumérotées RDabc pour les différencier des routes départementales existantes.
  58. Sauf pour la RN3, devenue D3, par continuité.
  59. Nouvelle numérotation sans rapport avec l'ancienne.
  60. Sauf pour la RN157, devenue D57, et la RN171, devenue D771 par continuité avec le département de Loire-Atlantique.
  61. Sauf pour la RN103, devenue D613. La RN4 est déclassée en D400 et la RN59 en D590
  62. Sauf pour la Voie Sacrée, devenue D1916, et d'autres exceptions locales dans les traversées de villes.
  63. Sauf pour la RN855, devenue D855.
  64. Sauf pour la RN153, devenue D654.
  65. Sauf pour la RN478, devenue D978A pour éviter de créer un doublon avec la RN78 déclassée au même moment, et pour la RN479, devenue D979A pour éviter de créer un doublon avec la RN79 elle aussi déclassée au même moment.
  66. Sauf pour la RN76, devenue D2076 par continuité avec le département du Cher.
  67. Avec toutefois plusieurs exceptions locales, comme autour de Saint-Amand-les-Eaux, liées à la construction de nouvelles infrastructures.
  68. Nomenclature adaptée dans la région lilloise à cause des doublons possibles.
  69. Sauf pour la RN15Bis, devenue D915bis puis D1015 et renumérotée D315 en 2006, la RN330A, devenue D330A, la RN332, devenue D332, et la RN335, devenue D335.
  70. Sauf pour la RN138, devenue D438 par continuité avec l'Eure.
  71. Pour les routes nationales classées après 1930 et situées à l'ouest d'Arras.
  72. Pour les routes nationales antérieures à 1930 et les routes nationales situées à l'est d'Arras.
  73. Sauf pour la RN493, devenue D1093. Nomenclature des annexes revue en 2006.
  74. Sauf pour la RN618 à l'est d'Arreau, devenue D618 par continuité, et la RN632, devenue D632 par continuité.
  75. Sauf pour la RN619A, devenue D14 par continuité.
  76. Sauf pour la RN9, devenue D900.
  77. Sauf pour une partie de la RN83, devenue D483 entre Burnhaupt-le-Haut et le Territoire de Belfort et une partie de la RN466, devenue D83 entre l'ex-RN83 et l'A36.
  78. Pour les routes nationales classées après 1930. Nomenclature revue en 2006.
  79. Pour les routes nationales antérieures à 1930. Nomenclature revue en 2006.
  80. Sauf pour une partie de la RN6, devenue D686 dans la traversée de Villefranche-sur-Saône.
  81. Règle générale et notamment pour les routes nationales limitrophes avec le Jura.
  82. Pour la RN6 limitrophe avec la Côte-d'Or.
  83. Pour les routes nationales limitrophes avec l'Ain.
  84. Cette renumérotation n'a été mise en place qu'en 2010. Auparavant, les RN déclassées avaient conservé l'appellation de RNIL.
  85. Nouvelle numérotation sans rapport avec l'ancienne. Plus de détails
  86. Sauf pour la RN438, devenue D338Bis.
  87. Sauf pour la RN15Bis, devenue D1015, la RN15BisA, devenue D1915, la RN314, devenue D1314, et la RN840, devenue D840.
  88. Sauf pour un tronçon de la RN29, devenu D929 par continuité, l'autre tronçon (déviation de Saint-Saëns) étant devenu D1029, la RN27, devenu D927 par continuité, la RN138, devenue D938 au nord de l'A13 et D438 au sud de l'A13 par continuité avec l'Eure, et la RN182, devenue D982 par continuité.
  89. Nouvelle numérotation sans rapport avec l'ancienne.
  90. Sauf pour la RN472, morcelée en plusieurs axes.
  91. Sauf pour la RN34, devenue D934 par continuité avec le département de la Marne.
  92. Sauf pour la RN13, devenue D113.
  93. Sauf pour la RN306, devenue D906 par continuité.
  94. Sauf pour la RN13, devenue D113 par continuité, et la RN191 devenue D291.
  95. Sauf pour la RN15Bis, devenue D1015 et D316, la RN15BisA, devenue D1915 et pour la RN44 devenue D44.
  96. Pour les routes nationales situées au sud d'Albi.
  97. Pour les routes nationales situées au nord d'Albi.
  98. Sauf pour la RN8Bis, devenue D6B, la RN552, devenue D952, et une partie de la RN555, devenue D955.
  99. Sauf pour la RN555, devenue D1555, et la RN98, devenue D559 le long de la côte.
  100. Sauf pour une partie de la RN100, devenue D901.
  101. Les numéros Bis ont été conservés, sauf pour la RN137Bis, devenue D937.
  102. Par harmonisation avec les départements limitrophes, la RN11 est devenue D611 et la RN147 est devenue la D347.
  103. Sauf pour la RN675, devenue D675, la RN699, devenue D699, la RN704, devenue D704, et la RN711, devenue D711.
  104. Pour les routes nationales antérieures à 1930, sauf pour la RN74, devenue D74.
  105. Sauf pour la RN74, devenue D674 par continuité avec les départements limitrophes.
  106. Sauf pour la RN360, morcelée en plusieurs axes.
  107. Sauf pour la RN188, devenue D988, la RN447, devenue D947, et la RN448, devenue D948.
  108. Sauf pour la RN7 et la RN20 qui conservent leur ancienne appellation et leur cartouche rouge en contrevenant aux règles élémentaires de signalisation des routes départementales.
  109. Sauf pour les RN187, RN189 (partiellement) et RN189A devenues D7 et sauf pour la RN310, devenue D911. Par la suite, les RN406 et RN407 sont devenues les D406 et D407. La RN410 est devenue la D912 et la RN409 est devenue D11 par continuité.
  110. Quelques rares déclassements partiels ont eu lieu, la RN14, devenant la D14 et la RN410 devenant la D410.
  111. Règle générale pour les routes nationales à 3 chiffres, sauf pour la RN214 devenue D921 et les routes nationales 4bc numérotées spécifiquement : les RN401, RN403, RN410 et RN412 deviennent respectivement les D940, D943, D941 et D942.
  112. Règle générale pour les routes nationales à 1 et 2 chiffres.
  113. Cette renumérotation n'a été mise en place qu'en 2017. Auparavant, les RN déclassées avaient conservé l'appellation de RNIL.
  114. Sauf pour la RN34 qui devient la D120 à Vincennes et la D86 sur son ancien tronc commun avec la RN186. La RN303 devient la D11 et la D203 à Villiers-sur-Marne. Certaines sections à sens unique portent des exposants A et B. Cette renumérotation n'a été mise en place qu'en 2009, lors de la révision générale de la nomenclature des RD. Auparavant, les RN déclassées avaient conservé l'appellation de RNIL.
  115. Sauf pour la RN14, devenue D14, et la RN192, devenue D392.
  116. Sauf pour la RN14, devenue D14 par continuité.
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